Renaissance,
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Dans le couloir de ma renaissance, j’aperçois la sensibilité de ce monde qui m’échappe si régulièrement en mille et un faux serments du passé.
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De ma tendre enfance en semi-couleurs écarlates et trop souvent sans couleur, sans saveur et rempli de peurs, je m’extirpé afin de m’envoler vers mon âme qui m’appelait désespérément depuis plus d’un demi-siècle.
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Il m’aura fallu vaincre la présence d’individus non sollicités autour de mon être sensible et fragilisé.
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Les écarter un à un avec la force de ma détermination, contre la «nauséabondité» de leurs incompréhensions répétées et nocives de mon être tout entier et vrai.
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De carapaces en carapaces, je navigué dans les eaux troubles de mon existence. Mille écueils ne m’auront point vaincu, même si certains d’entre eux y seront presque parvenus.
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Pour chaque agenouillement, mon désir de vivre l’emporta inlassablement, mais trop souvent par de faibles marges de différences.
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Mes énergies et mon courage me quittant trop souvent simultanément, j’ai dû puiser tout au fond des ténèbres.
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Et puis, de pleurs en pleurs, les nuages se dissipant, je conservai l’espoir, cet espoir si essentiel en ce monde si étrange et truffé de mal être et de faux êtres.
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Je suis enfin sorti de cette tempête et je puis, aujourd’hui, apprécier chaque instant de la vie, comme si c’était à chaque fois, le premier jour de ma vie !
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©2020 RBaron (27/01)
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Dans le couloir de ma renaissance, j’aperçois la sensibilité de ce monde qui m’échappe si régulièrement en mille et un faux serments du passé.
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De ma tendre enfance en semi-couleurs écarlates et trop souvent sans couleur, sans saveur et rempli de peurs, je m’extirpé afin de m’envoler vers mon âme qui m’appelait désespérément depuis plus d’un demi-siècle.
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Il m’aura fallu vaincre la présence d’individus non sollicités autour de mon être sensible et fragilisé.
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Les écarter un à un avec la force de ma détermination, contre la «nauséabondité» de leurs incompréhensions répétées et nocives de mon être tout entier et vrai.
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De carapaces en carapaces, je navigué dans les eaux troubles de mon existence. Mille écueils ne m’auront point vaincu, même si certains d’entre eux y seront presque parvenus.
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Pour chaque agenouillement, mon désir de vivre l’emporta inlassablement, mais trop souvent par de faibles marges de différences.
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Mes énergies et mon courage me quittant trop souvent simultanément, j’ai dû puiser tout au fond des ténèbres.
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Et puis, de pleurs en pleurs, les nuages se dissipant, je conservai l’espoir, cet espoir si essentiel en ce monde si étrange et truffé de mal être et de faux êtres.
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Je suis enfin sorti de cette tempête et je puis, aujourd’hui, apprécier chaque instant de la vie, comme si c’était à chaque fois, le premier jour de ma vie !
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©2020 RBaron (27/01)